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Par Anonyme, le 23.08.2013
h
Par Anonyme, le 13.02.2013
oui!
Par Anonyme, le 25.12.2012
oui!
Par Anonyme, le 20.12.2012
ah que coucou!
la comparaison a-t-elle été faite sur le marché français seulement ou sur le marché en franc
Par Sab, le 14.12.2012
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Date de création : 19.12.2009
Dernière mise à jour :
03.08.2013
21 articles
J'ai ouvert ce blog à l'époque où E.Besson a lancé son grand débat sur l'identité nationale. Beaucoup de place a été laissée à l'imaginaire de chacun au regard des photos que j'ai publiées.
Si je devais dire en 3 phrases ce qu'est ou doit être, à mes yeux, notre identité nationale, je dirais volontiers:
- avoir conscience que nous, population de France, devons prendre la dimension mondiale dans laquelle nous évoluons, et intelligence pour en tirer le meilleur,
- avoir conscience que l'Europe est un atout plus qu'un inconvénient, et intelligence pour conforter cette vision,
- intelligence pour apporter à chacun la possibilité d'une vie digne sur notre territoire, et s'obliger à du résultat.
Nous sommes plus de 6 milliards de personnes sur la terre et seront près de 10 à la fin de ce siècle. Nous devrons partager les ressources, il est important de construire cette démarche. Sera-t-elle le champ exclusif du business et de la préservation des intérêts suprêmes de tel ou tel pays? Ou bien aura-t-on une démarche rationnelle, juste, équilibrée permettant à tous un accès aux besoins fondamentaux?
L'Europe est à la fois une belle réalisation et une réalisation souffrant de grands handicaps. La paix devrait y être assurée pour longtemps sauf fragmentations nationalistes. Sur le plan économique et social, un grand chemin reste à parcourrir. Quel serait le référentiel en la matière, qui donnerait à chacun une place digne d'un tel continent, dans un monde encore, et sans doute pour longtemps, déséquilibré? Peut-on se targuer de capacité d'innovation, d'intelligence, d'atouts, etc...quand on se dit prêt à brader les élements de justice sociale longuement défendus, devant des financiers affamés? On a vu notamment que la France a mieux ammorti la crise que certains autres pays d'Europe. Quelle explication donne-t-on à cela? Notre référence doit- elle être l'Espagne, dans un état catastrophique? Doit-elle être aussi l'Allemagne qui semble s'en être mieux sortie mais qui commence à prendre conscience de ses lacunes (pauvreté, démographie,...)? Un très gros chantier est devant les acteurs politiques et économiques. Il faudra de l'engagement et de la conviction, et trouver des compromis.
Sur notre territoire, c'est bien notre intelligence qui nous permettra de nous adapter. Mais il faut choisir un mode entreprenarial plutôt qu'un mode attentiste. En effet, un jeune doit se former et notre dispositif de formation doit permettre cela. Mais la "production" de compétence doit répondre aux besoins réels. Soyons pragmatiques. Par exemple, ré-intéressons les jeunes aux métiers de l'industrie, rendons attractifs ce domaine d'activité, on peut en vivre bien et avoir une vie professionnelle exhaltante. Interdisons nous la non qualification d'un jeune! Il y aura toujours des boulots avec peu de qualification nécessaire mais cela n'est pas l'avenir pour le plus grand nombre.
Retroussons nos manches, chacun est concerné! Pourquoi chacun d'entre nous ne s'engagerait il pas dans une action a minima allant dans le sens de permettre à la jeunesse de notre pays de réussir leur vie?
Mariage pour tous les droits a tous.
Le droit de l'enfant est essentiel et rien ne s'oppose en la matiere au mariage pour tous.
Enfin un sujet de societe important porte par la gauche , comme a chaque passage au pouvoir. Une ligne claire.
C'est reposant compare au sujet ouvert autrefois sur l'identite, etrepond a un vrai besoin.
Je pistone.
Je commencerai évidemment par souhaitez mes meilleurs voeux à l'occasion de la nouvelle année 2013, au(x) lecteur(s).
Et, je prends une résolution simple et pas chère, celle de mieux comprendre l'information, celle apportée par nos médias (les plus sérieux).
Simple, signifie que selon le temps que je consacre à m'informer, je m'impreigne de plusieurs sources. 2, serait un minimum, encore faut-il bien les choisir. Plus, diminue le risque de recevoir une information fausse, tendancieuse ou mal comprise.
J'ai à ce sujet deux exemples d'actualité:
- une vielle dame a été exclue de sa maison de retraite dimanche dernier accompagnée de ses bagages. Elle n'a pas été reçue chez un de ses fils absent de son logement, et finalement a été conduite à un hôpital où celui-ci travaille et où elle a été accueillie. Le motif d'exclusion est le non paiement de la prestation à la maison de retraite à hauteur de 40 000 euros (sans doute plusieurs années d'hébergement et de soins). Pour avoir ce niveau de détail il m'a fallu écouter deux fois les infos parlées.
Une personne de 73 ans qui s'était vaguement impreignée de cette information me rapporte que la vieille dame à été mise à la rue de façon scandaleuse (comme posée sur le trottoir avec son baluchon) et qu'il faut mettre à la porte le Directeur d'établissement. On peut comprendre la sensibilité humaine qui amène à un tel "tri".
A aucun moment le(s) média(s) n'ont stipulé que la dame avait été mal traitée, hors c'est la seule situation qui aurait pu rendre intolérable cette action. Et dans le cas où la non mal traitance a été vérifiée par le journaliste, la moindre des politesse est de le dire, dès la première information.
Ainsi, le(s) média(s) procédant par approximation marquent les esprits à la recherche du sensationel, ce qui permet de vendre. Ces médias ne peuvent se prétendre professionnels, ils ne font que du commentaire, souvent entaché d'erreur, et cela trompe l'auditeur.
- autre exemple, Depardieu. On peut le pardonner de ne plus savoir où il habite tant il vit ou a vécu dans l'excès. Là encore le(s) média(s) est à la recherche du scoop, et si possible du lien avec la situation politique pour renforcer la couleur du scoop, un peu plus que le simple lien avec la célébrité. Un peu de hauteur de vue permet très vite de se rendre compte de la supercherie.
Allons médias! Montrez nous que vous êtes des pros! Autant d'intelligence rassemblée ménerait-elle aussi vers une pauvreté éditoriale, une pauvreté de plus en quelque sorte.
Enfin sur la question du pas cher: payer pour une information trompeuse est toujours trop cher. J'invite chacun à y réfléchir.
Fiscalité et Consommation, nous voilà devant un sacré dilemme.
La consommation est source de revenus:
- pour les entreprises (à prendre au sens le plus large possible), maillon important de l'activité économique car elle fournit les produits et les services dont nous avons besoin, parfois plus, parfois trop, parfois mal. La démographie mondiale annoncée doit nous faire prendre la dimension de ce maillon essentiel de l'organisation des peuples, amenée à croître de toute façon. Intelligemment si possible.
- pour les citoyens, car ils ont un emploi générant leurs revenus et leur permettant de vivre. Honorablement si possible.
- pour l'état, quel qu'il soit, où qu'il soit, quelles que soient les organisations, car il prélève l'impôt. Cela lui permet de financer les besoins communs, d'intérêt général. On pourrait dire en complément ceux que l'entrerpise ne saurait satisfaire. Pertinemment si possible.
Dit ainsi il paraît alors facile de croire qu'il suffit de se mettre autour de la table et de tracer les lignes. Cette phrase avec 5 verbes, dont un seul traduit l'action, introduit d'une certaine façon la difficulté.
Il y a probablement en France 65 000 000 de représentations individuelles de cet équilibre. A la source il y a une richesse, assez bien traduite par le PIB (produit intérieur brut - en France il est de 2000 milliards euros en croissance globale), qu'il faut répartir.
Là intervient la politique et la fiscalité.
1- Laisser faire, et ça se débrouille. Pas d'état, pas de prise en charge de l'éducation, de la santé,...Les entreprises s'en chargent plus ou moins, ou bien des organismes privés subventionnés par des mécènes s'en chargent plus ou moins. Le modèle Michelin pourrait illustrer une telle approche pour le secteur industriel tel que cela a été fait en fin de 19ème et 20 ème siècle à Clermont Ferrand. Dans ce schéma, à Thionne, 200 habitants et un boulanger, rien ne se passe, il n'y a même pas de route pour aller à l'école d'à côté. On pourrait y voir un avantage, l'éducation serait adaptée aux besoins de l'activité locale, sans superflu. Avec une prise de conscience qu'il y une autre dimension pour l'homme et son pays, peut on imaginer le nombre de laissés pour compte? Peut on aussi imaginer l'absence d'anticipation en terme d'élargissement des connaissances, des compétences et de l'innovation?
2- Organiser et financer cette organisation. Cela signifie que l'état intervient. Et finance par l'impôt. Mais qui et quoi taxer? Et quand et comment? Et pour quoi faire?
Le pour quoi faire est très important, me semble-t-il. Et le propre d'un état pertinent est bien de se ré-interroger régulièrement sur le pour quoi faire? Sortir de l'idéologie et faire évoluer un service ne rend pas imbécile, c'est réfléchir au comment on peut assurer un service, autrement, y compris dans un endroit éloigné et le mettre en oeuvre qui est important. L'association d'intelligences est alors la vraie démarche à mettre en oeuvre. Personnellement je n'ai plus besoin du même service postal qu'autrefois car j'utilise internet. Je comprends que la dame de 80 ans ait du mal à utiliser internet, donc on adapte la réponse en terme de service, mais cela évoluera de toute façon. L'idéologue veut tout garder en l'état, en prétextant le maintien de l'emploi alors que l'emploi évolue, mais cela il l'ignore assez volontairement. Et bien, une évolution de service comme celui évoqué modifie l'engagement de l'état, donc le cas échéant la perception de l'impôt. L'entreprise peut répondre aujourd'hui au service de distribution postale, avec la même densité de prestation, de qualité, de coûts. Tout comme le boulanger a toujours assuré la fourniture de pain sans jamais dépendre de l'état (à part l'encadrement du coût du pain à une certaine époque).
L'augmentation de la durée de la vie conduit à une évolution de la prise en charge de la dépencdance. Que veut-on? Offrir aux personnnes agées une assurance de bien être pour leur fin de vie. Par la prise en charge de la santé, par la création et le soutien d'établissement d'accueil. Le pour quoi faire est admis par tous. Il faut financer une dépense qui augmente. L'impôt est un moyen qui garantit le même accès à tous.
Ce pour quoi faire doit faire partie du débat publique, n'en déplaise à certains.
Alors qui et quoi taxer?
Retenir à la source sur un revenu (chiffre d'affaire, salaire, ...), retenir sur des transactions financières et sur le patrimoine (plu-values, successions, ...), retenir sur les produits et service vendus (TVA, TIPP), ...Tout le monde est concerné. L'état ajuste l'impôt sur des critères de justice (au sens solidarité), de poids fiscal sur la compétitivité, et de besoins de rentrées fiscales.
Il me paraît normal que tout taxé s'interroge sur le pour quoi faire, car son niveau de taxation en dépend, il est évidemment très concerné et doit avoir son mot à dire.
Une remise à plat du système fiscal est souhaitable, un voeu de simplification, mais de justice est incessamment rappelé par les acteurs de l'activité économique et les citoyens. Alors, on y va!
Quand et comment taxer?
Aujourd'hui on vit des soubresauts permanents et exaspérants, car le système est compliqué et peu lisible. Cela bouge en plus là, cela bouge en moins ici,.... Les politiques étant également hasardeuses, le phénomène s'amplifie dans l'opinion.
Derrière cette interrogation je dirais que se trouver dans une situation de taxation temporaire élévée, à caractère très confiscatoire d'une population ciblée n'est pas souhaitable par rapport à la cohésion sociale. Mais compte-tenu de certaines situations plus dramatiques, peut être est il difficile pour certains de ne pas être tentés?
Cela renforce l'idée d'un vrai débat sur le pour quoi faire et la fiscalité associée, et donnerait l'opportunité de positiver la place de l'impôt, véritable outil pour l'intérêt commun.
Consommation.
L'impôt peut être notre premier poste de consommation et nous n'avons acune maîtrise sur lui, sauf à moins consommer ((pour tous, TVA 5 à 20%, TIPP 60%, Taxe d'habitaion, Taxe foncière, pour la moitié IRPP et je considère les autres impôts comme touchant moins de monde). Comment ne pas être attiré, en grande masse, par les produits moins cher, dits bas de gamme, fabriqués ailleurs?
Réduire l'impôt et ce qui le génére est nécéssaire. Réduire les dépenses publiques est nécessaire.
Exemple: quelqu'un qui vit en France, qui a deux maisons dans deux départements différents, supporte deux administrations qui ont les mêmes missions, il y une économie d'échelle possible. Etc...
En ce lendemain d'élection de parti, nous pouvons observer les énormes progrès de la démocratie. L'UMP nous fait une démonstration de répubique bananière, où la suspicion de fraude électorale devient porteuse du message identitaire. Puisque l'intelligence suprême de ses diplômés (sauf Jacob) n'arrive pas à organiser cet organisme tout comme il n'arrive pas à organiser la société, les dérives de cette nature prennent alors place. Bon programme à venir pour les primaires! Et après?
L'humilité doit être de mise, le monde est là, il influe sur notre vie. Autrefois dans un sens favorable pour nous, maintenant l'inverse, du moins pense-t-on dans certains foyers en très grande difficulté, c'est d'intellingence et de cohésion dont il nous faut faire preuve.
Nous devons trouver sans cesse notre place dans cet environnement, nous devons le faire sans mettre nos compatriotes en situation de catastrophe et en abandon comme c'est le cas dans certains pays et trop souvent chez nous. Ceux qui en sont les moteurs ont besoins des autres et ne peuvent mépriser ces autres du jour au lendemain. Cela s'appelle la solidarité, elle ne va naturellement pas de paire avec le laisser-faire et l'individualisme. Elle peut peser momentanément cette solidarité, mais puisque nous avons tant de dipômés, intelligents, qu'ils se lâchent pour inverser la tendance, ils pourront en être fiers à défaut d'être riches.
Devant la difficulté, l'homme trouve les solutions.
Signé: un dipômé
Le temps des réalités est maintenant bien là. Il faut mettre la main au portefeuille.
Je ne suis pas un spécialiste du commentaire, mais quelques réactions me viennent de temps à autre sur les muliples questions que les médias véhiculent avec le retournement nécessaire afin de tenir les ventes (encore une question d'argent).
Je suis retraité, payant des impôts, presque engagé dans le 3ème age. En activité j'ai contribué au paiement des retraites. Maintenant je vais contribuer au paiement de la dépendance. Pour moi cela représente 93 euros/an.
Comment supporter cette insuportable dépense supplémentaire?
En arrêtant de fumer une personne de ma famille vient de provoquer une économie de 90 euros / mois. Et peut être plus encore à la solidarité santé!
C'est bien là la différence entre une dépense qui va au bien de l'être humain, et celle qui détruit l'être humain.
Je n'aboierai pas sur le thème des dépenses devenues insuportables pour les citoyens, à la différence de Nadine MORANO qui semble être programmée pour aboyer comme un chien qui doit garder sa propriété.
Les messages répétés à propos du coût du travail entre la France et l'Allemagne interpellent forcément le citoyen moyen:
- factuellement et en moyenne, il paraît établi que le coût du travail d'un salarié Français est supérieur au coût du travail d'un salarié Allemand, hors cela est vrai pour l'activité de services et non pour l'activité manufacturière (là il y a quasi stricte identité),
- j'ai comparé rapidement les prix publics de quelques produits allemands et produits Français:
- voitures (diesels) allemandes de la catégorie Audi A1-A2, Mercedes ClA,Bmw série 1, prix situés dans une fourchette de 22000 à 30000 euros,
- voitures Francaises de la catégorie Clio 3, Mégane, Peugeot 208, 308, prix situés dans une fourchette de 13000 à 25000.
Une cafetière de marque Allemande est 25 à 50% plus chère qu'une cafetière de marque Française (Moulinex - Siemens),
Une perceuse verticale Bosch est 25% plus chère que la perceuse Peugeot.
Peut on en déduire aussi simplement que la compétitivité Française relève du coût du travail Français alors que le prix du produit tend à prouver le contraire. La qualité et la réputation qui en résultent sont certainement des facteurs de vente des produits Allemands, mais les produits Français ont eu et ont encore bonne réputation. Où chercher une explication? Pas là!
Le message politique (de droite) est trop caricatural, et il est regrettable que tant de matière grise dirigeante tente de nous anesthésier de la sorte.
La phase actuelle de suppression des emplois dans l'hexagone est "normale" car la crise produit ses effets, un peu retardés mais inéluctables. La recherche de la cause profonde de la crise, et l'éradication de cette cause à jamais est le seul remède durable. Il faut un courage politique plus fort que jamais, dans l'hexagone, dans l'Europe, dans le monde. Nous y avons tous intérêt.
En attendant gérons au mieux les situations.
Cet ouvrage, situé dans l'Allier (viaduc de Fades), me permet de faire un clin d'oeil à notre infinie capacité d'invention, de création, de savoir faire industriel, ...pour franchir des obstacles majeurs.
L'ouvrage est ancien, il n'est plus utilisé. Il a été moderne, il ne l'est plus. Il est remplacé ou le besoin a évolué, on sait faire ce qui correspond au nouveau besoin. Voilà quelques caractéristiques de ce que la vie de la société configure en matière d'industrie et d'environnement. Il nous faut savoir que cela n'est pas nouveau et que cela continuera. Il nous faut en permanence nous adapter.
Nous n'avons pas d'autre choix que d'y parvenir. Cela passe par la formation à des métiers sans cesse renouvelés.
Nous sommes dans un moment de folies extraordinaires:
- la mise en ordre de marche des candidatures à lélection présidentielle, des faites et des défaites, ces dernières souvent à l'opposé des positions prises fermement par les intéressés,
- la médiatisation à la recherche du coup d'éclat interpersonnel plutôt que la confrontation des idées, allant jusqu'à organiser le non débat entre candidats de même niveau de légitimité,
- un candidat sortant ayant passé un costume de circonstances, qui lui va aussi mal que tout costume d'ailleurs,
- un compétiteur sérieux qui aura beaucoup de difficulté à rassembler ce qui est désassemblé par nature, le contrat PS-EELV étant le sujet phare pour un désastre à venir, sauf à y renoncer sans délai.
- un frontiste de gauche, ayant cru au rêve,
- une frontiste de droite, croyant à son propre rêve,
- puis des amuseurs de salles rabâchant ce qu'ils pensent de bon sans savoir si ceux à qui c'est destiné le pensent.
Nous sommes en bonne route pour le mur. De notre identité il nous reste un mauvais souvenir:
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Travail, Famille, Civilisation
Restons simples et construisons sur Liberté Egalité Fraternité
Ce titre est peut être celui qu'il nous faudrait retenir, modestement, pour définir notre cap. Il nous faudra nous élever, nous y serons mieux vus et appréciés, par nous même et tous nos partenaires. Pour y arriver, l'alpiniste a besoin des sherpas, et les sherpas n'ont d'existence que si l'alpiniste s'y engage.Chacun doit y trouver son intérêt, la souffrance est là mais le plaisir prédomine.
Dans ce massif central, la dureté de la vie est bien connue, on sait toutefois accueilir, quel plaisir!